Trois ans en freelance

Trois ans en freelance

 Je prends soin d’écrire cet article chaque année depuis mon lancement en indépendante.

Pour remercier mes clients et mes partenaires de me faire confiance.

Pour que d’autres freelances puissent s’inspirer de mon expérience (bonne ou mauvaise).

Mais également pour réaliser et savourer mes succès. Car j’ai la tête dans le guidon, cette année encore plus que les précédentes, et je ne prends pas souvent le temps de prendre du recul (enfin pas sur mes réussites ;)).

Un indépendant, un entrepreneur, a besoin de savoir s’auto-congratuler s’il veut avancer, même si cela peut sembler prétentieux pour certains, car personne ne le fera à sa place.

 


 

BILAN 2017

 

Financièrement :

J’ai à nouveau quasiment doublé mon chiffre d’affaires cette année. Je n’ai pas eu un seul jour sans projet depuis janvier 2016 donc c’est plutôt encourageant !

Je n’ai plus qu’un impayé datant de l’an passé à régler. J’en sens pointer un nouveau car l’une des agences parisiennes avec laquelle je collabore est en grandes difficultés à cause, également (!), des impayés clients…

Comme j’ai réussi à économiser, ça ne met heureusement plus en péril mon activité… si cela ne se reproduit pas souvent toutefois. Je demande d’ailleurs dorénavant un acompte de 50% au lieu de 30% pour éviter les déconvenues, et je travaille également avec Malt qui joue un rôle d’intermédiaire entre indépendants et entreprises (le client règle la totalité à la plateforme qui transfère le règlement lorsque le projet est terminé).

Je profite également depuis peu d’une subvention qui correspond à mes prestations (conseil en stratégie et « design de marque ») : le Diagnostic Design de la banque publique d’investissement (« Bpifrance »). Ces derniers souhaitent valoriser le design qui pour eux est un véritable booster de compétitivité et donc de développement des entreprises et de l’économie française. Si vous connaissez des entreprises ayant besoin de travailler sur le sujet, n’hésitez pas à me les envoyer 🙂 A noter que cette subvention fonctionne également pour d’autres types de design (design industriel, design packaging…).

 

Passionnément 😉 :

J’évolue dans de plus en plus de secteurs différents, pour des entreprises de toutes tailles, de l’indépendant à la multinationale.

Il faut dire que les prospects arrivent à moi par divers moyens :

  • Via mes partenaires et mes clients qui me recommandent
  • Via Malt, plateforme sur laquelle je suis inscrite depuis 3 ans et pour laquelle j’organise des rencontres en PACA tous les mois
  • Via des personnes qui me suivent sur les réseaux sociaux et qui comprennent ce que je fais grâce à mes publications (LinkedIn bien sûr mais aussi plus récemment Facebook!)
  • Via les conférences que j’anime environ 2 fois par an dans le cadre de l’association Entrepreneur’ielles dont je suis membre

 

Cela enrichit ma culture personnelle et nourrit ma curiosité ! J’ai notamment découvert l’univers passionnant des thérapeutes, des drones, de la sûreté hôtelière… (je vous présente tous ces projets ci-dessous).

Je ne m’ennuie donc jamais et je me vois donc bien travailler comme ça pendant… une quarantaine d’années (ça tombe bien puisque la retraite n’existera plus) !

 

 

MERCI À MES CLIENTS

 

Merci à vous tous pour votre confiance ! Vos projets et votre motivation m’enrichissent chaque jour un peu plus. Ce que je préfère, c’est découvrir un nouveau produit ou un nouveau service qui permettront d’améliorer encore le monde dans le futur. Vous ne manquez pas d’idées et c’est passionnant. C’est un peu comme si je vivais le lancement avec vous, par procuration !

 

Marques qui ont vu le jour en 2017 :

  • OliStori : cave à huiles d’olive portugaises à Lisbonne
  • La Galerie des Portraits : agence de scénographie événementielle
  • Synchronissim : coordinateur d’investissements locatifs
  • Elodea Ecosystem : écoystème international d’accompagnement aux acteurs du secteur des drônes, objets connectés…
  • Kaviv : collection d’objets design en petite série
  • Maison Mixmelô : marque de prêt à porter féminin « ôdacieux »
  • Zoelyne : marque de montres au bracelet interchangeable
  • Vent arrière : thérapie psycho-corporelle utilisant la sophro-analyse et le Samvahan
  • Infuz’ :  Hypnose, PNL et EFT
  • Walkoo : application mobile proposant des parcours récompensés grâce à un algorithme intégré qui mesure l’effort
  • Subclic : plateforme collaborative pour dématérialiser et sécuriser les contrats de sous-traitance dans le BTP
  • Ayad Solutions : société qui propose des solutions techniques ingénieuses pour répondre aux problèmes de la vie courante
  • Appetisi : marque de fromage du groupe international Granarolo
  • Calexia : agence immobilière nouvelle génération
  • Logexiel : conseil en sélection de logiciels d’entreprise (Eric est également un partenaire)

 

Création de marques en cours :

  • Une marque de fruits secs destinée à la grande distribution
  • Un blog et e-commerce de produits de beauté français destinés aux Chinoises
  • Des boîtes de conservation au système de mise sous-vide intégré innovant
  • Un accessoire ingénieux pour les cyclistes
  • Une application pour gérer les prestataires d’entretien de la maison/du jardin
  • Une rôtisserie nouvelle génération
  • Un nouveau concept de restauration dédié au croque-monsieur
  • Un salon de coiffure et un lieu dédiés au bien-être « green »

 

Affirmation de marques existantes :

  • Séverine Iorio : couture sur mesure au quotidien
  • Lie Dil : création de robes de mariée sur mesure
  • Web biz : agence webmarketing (Nicolas est aussi un partenaire)
  • AccorHotels : Convention 2017 destinée aux Directeurs d’hôtels Sofitel, Pullman et Mgallery
  • Cabinet Lehman : avocat expert en réparation du dommage corporel
  • MBB : leader français du barter
  • Beforgo : plateforme web dédiée à la préparation de voyages (créée en 2016 : j’accompagne toujours Virginie sur sa stratégie)

 

Affirmation de marques en cours :

  • Un bar à chocolat à Paris (après moults rebondissements liés au local, la boutique ouvrira au printemps. Miam miam!)
  • Une société de services informatiques
  • Un cabinet d’expertise comptable
  • Un cabinet d’architectes
  • Une consultante en RH
  • Une thérapeute pluridisciplinaire et coach de vie
  • Une facilitatrice graphique et artistique
  • Le leader de la vente de vitres/verres sur Internet
  • Un laboratoire photo parisien
  • Un spécialiste du conseil en marketing pour les restaurateurs
  • Une marque de produits naturels innovants (en poudre) pour les cheveux naturels
  • Un des leaders nationaux de la conception de salle de bain
  • Un générateur de recettes, menus et listes de courses
  • Un guide de la sûreté hôtelière pour les voyages d’affaires
  • Une application qui permet d’embarquer les services d’un serveur téléphonique sur mobile

 

 

MERCI À MES PARTENAIRES…DU DÉBUT OU PLUS RÉCENTS

 

Merci à tous mes talentueux partenaires (il en manque encore quelques uns sur le site !) de m’avoir fait confiance cette année, qu’ils soient des agences ou des indépendants.

 

Je remercie en particulier mes partenaires designers :

  • Aurélie Ronfaut, partenaire de mes débuts avec qui je prends toujours autant de plaisir à travailler (nous avons collaboré sur OliStori ; Maison Mixmelô ; Lie Dil). Elle a lancé il y a peu Greenmoods, plateforme entre le magazine et le blog prônant un état d’esprit optimiste et positif à tendance écologique. Dans ce cadre, elle accompagne maintenant les entreprises qui ont l’ambition d’apporter des solutions positives à s’engager dans une démarche éco-responsable (en plus de ses services en tant que bureau de style). J’apprends beaucoup sur ce sujet qui m’intéresse de plus en plus 🙂
  • J’enchaine avec une super rencontre faite en 2017 justement grâce à Aurélie quand elle organisait les soirées dédiées aux arts de vivre : Trait simple, Céline, Marion et Vincent qui sont adorables et avec qui j’adore travailler. Nous avons collaboré pour Subclic et Walkoo en 2017, avons 2 projets en cours avec Aurélie qui collabore également avec nous sur les projets sur l’aspect développement durable !
  • Fanny de Bray, fondatrice de l’agence parisienne Made for you, avec qui je travaille depuis début 2017 et grâce à qui je commence à démarcher de grandes entreprises. Fanny est très ambitieuse et elle a bien raison : grâce à son audace nous avons accompagné de grands groupes de divers secteurs : AccorHotelsAppetisi ; MBB.
  • Myriam Correard encore et toujours : c’est une partenaire de mes débuts sur Aix. Elle est polyvalente et sait s’adapter à tous les styles et tous les secteurs, et est très réactive 🙂 Nous avons entre autres travaillé ensemble sur la Galerie des Portraits ; Vent arrière ; Energiz (et bien d’autres projets en cours de finalisation).
  • Paule Gauer et Catherine Trolliet des Ielles de la Com (que j’ai évoqué plus haut), avec qui j’ai collaboré pour Séverine Iorio et Synchronissim (2 super clients :))
  • Je collabore également avec Paule sur tous les outils de communication du bar à chocolat
  • Kevin Muñoz Mendoza et Boris Delire aka Brandinsky, que j’ai rencontrés via une partenaire de l’agence parisienne CBA Design pour laquelle je travaille régulièrement, pour laquelle Kevin avait également travaillé. Cette partenaire qui m’a mise en contact avec Kevin n’est autre que celle qui avait créé le pôle Planning Stratégique dans ma 1ère agence lilloise Coconuts ! Kevin et Boris sont particulièrement bons sur tous les sujets innovants, technologiques, mais je les challenge actuellement sur des sujets plus « féminins » 😉
  • Carolane Pernice avec qui j’ai collaboré sur éLab et Elodea, toujours overbookée, victime de son succès !
  • Marie-Hélène Lebée, Mélanie Carol également regroupées dans le collectif Allolacom, sur Ayad Solutions et des projets en cours.

 

Je remercie également mes partenaires « communicants »  :

  • Charlotte Fontaine d’Edimea, consultante en marketing et communication qui m’accompagne en particulier sur les plans de communication et leur mise en oeuvre opérationnelle
  • Delphine Collet de Concept Edito, spécialiste des relations médias (presse/influenceurs) qui m’aide à donner de la visibilité à mes clients, principalement les créateurs d’un concept innovant
  • Laurie de Lapeyre de Own it, spécialiste de la communication digitale mais humaine, pour créer un lien fort entre la société et ses cibles
  • François Cadiergue, fondateur de l’agence marseillaise Culture de Marque pour qui je travaille sur des projets variés (huiles, salle de bain…), spécialiste des stratégies de communication de grandes marques
  • Julie Aubin fondatrice de l’agence parisienne Hulotte, avec qui je travaille sur tout l’aspect point de vente (« retail ») du bar à chocolat (et pour laquelle je travaille régulièrement sur de la stratégie de marque et du naming)

 

Je remercie enfin mes collègues bénévoles d’éLab, de belles personnes qui m’ont fait découvrir tous les aspects de l’accompagnement de l’humain en entreprise :

  • Laeticia Latil, initiatrice d’éLab et référente de la Fabrique Spinoza en PACA, mais également fondatrice de Quartosphère, libérateur d’énergie positive en entreprise, notamment par le biais d’évènements professionnels (nous sommes en train de finaliser le nouveau site web et de peaufiner nos offres communes)
  • Isabelle Nicolin, spécialiste de l’Office & Personal Branding, Happiness Officer (qui est également, comme Laeticia, dans mon club d’affaires)
  • Stéphane Delplanque sur la partie digitale
  • Olivier Christol et Frédéric Ungaro pour l’intelligence collective
  • Et bien d’autres !

Ces rencontres ouvrent de nouvelles perspectives dans ma manière d’appréhender mon métier, car l’humain est au coeur de tous les projets. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il me tient à coeur de travailler de manière collaborative avec mes clients.

 

A tous ceux que je n’ai pas cités et à ceux que j’ai rencontrés récemment, je ne vous oublie pas même si j’ai parfois du mal à gérer toutes ces relations qui se doivent d’être entretenues, avec un emploi du temps surchargé ! 2018 nous promet déjà de beaux projets 😉

 


 

PERSPECTIVES 2018

 

Mode de travail :

Tout le monde me demande si je vais enfin créer mon agence et m’associer ou embaucher, mais je ne le souhaite toujours pas. Ce que j’aime dans mon métier… c’est justement lui 😉 Or si mon entreprise grossit, je vais devoir passer plus de temps à « gérer et à manager ».

Je préfère également que chaque intervenant soit pleinement responsable de son travail. Nous sommes souvent plus impliqués et plus efficaces quand notre réputation est en jeu. Je coordonne certes le tout mais je ne suis pas experte en réseaux sociaux, RP, développement web… C’est justement pour cela que je m’appuie sur eux.

Travailler en équipe d’indépendants permet une grande flexibilité, et les différentes factures ne dérangent pas mes clients (il y en a généralement 3 au total). D’autant que je ne prends donc pas de marge sur leur travail. Je facture seulement le suivi de projet réel.

Je réfléchis également à l’apport d’affaires en récompense de celui qui amène de nouveaux projets, dans le cas où moi ou mon partenaire ne parviendrait pas à « rendre la pareille » à l’autre.

Enfin, cela fait plusieurs mois que je souhaiterais mettre en place une collaboration avec un ou plusieurs consultants qui ont le même profil que moi et la même manière de travailler (souvent des « Planneurs Stratégiques » donc), parce qu’à un moment mon planning n’est plus extensible… Je n’ai pas encore sauté le pas car chaque projet me passionne et j’aurais du mal à en laisser passer un, mais je serai sûrement obligée de le faire un jour 🙂

 

Evolution géographique :

Mon conjoint ayant reçu une promotion en décembre, nous déménageons mi-février à Lyon  !

Cela ne changera rien pour mes clients hors PACA (je serai encore plus près de Paris notamment), et quasiment rien non plus pour ceux situés en PACA : car j’ai prévu de revenir plusieurs fois par mois.

Je vais d’ailleurs continuer à faire vivre mes différents réseaux locaux :

 

Mes leviers de développement sont donc variés ! Y a plus qu’à 😉

 


 

Bonne année à tous, remplie de projets enrichissants et de nouveaux défis à relever ensemble. Osez apporter au monde ce que vous avez de meilleur… Je vous y aiderai !

 

Deux ans en freelance

Deux ans en freelance

Fin d’année, début d’une nouvelle : c’est l’heure des bilans et des bonnes résolutions… Surtout quand on a eu 30 ans le 31 décembre 😉

Cela fait un peu plus de 2 ans que je me suis lancée à mon compte. La 1ère année fut l’année de la révélation, la 2ème celle de la confirmation. Il y aura donc encore de nombreux bilans a priori 🙂

 

BILAN 2016

Ca y est, j’ai atteint les objectifs fixés dans mon business plan établi en 2014.

Je les ai même dépassés, et tant mieux parce que ne sachant pas du tout à quoi m’attendre en me lançant je me rends compte aujourd’hui que j’aurais pu être plus ambitieuse !

Je suis tout de même fière d’avoir réussi et d’avoir travaillé sur autant de missions toutes plus intéressantes les unes que les autres cette année. Je n’ai en effet pas arrêté depuis janvier.

 

Comment :

Avant de me lancer j’avais lu beaucoup d’articles donnant des conseils aux nouveaux freelances, je les ai suivis et… ça a marché. Ce n’est pas une révélation mais je confirme : le réseautage est efficace !

C’est comme cela que mes 1ers clients m’ont fait confiance. Ils m’ont ensuite recommandée auprès de leur réseau.

Les agences sont sensibles à la prospection (peu de professionnels ayant mon profil en font). C’est plus facile pour elles d’évaluer les compétences d’un expert grâce à son portfolio puisqu’ils connaissent bien le métier.

Mais les clients que j’ai en direct connaissent souvent assez mal mon métier : la recommandation d’une connaissance les rassure.

Le réseautage est efficace et c’est quand même plus agréable de se rendre à un afterwork professionnel que de faire de la prospection téléphonique !

C’est grâce au réseautage que j’ai rencontré mes collaborateurs. Puis ils m’ont recommandée à leurs propres clients (souvent après que je les aie fait travailler pour les miens). Ces « prescripteurs » sont primordiaux. D’autant que ce sont comme des collègues et qu’ils permettent de ne pas se sentir seuls au quotidien, de travailler dans la joie et la confiance puisque contrairement à des collègues nous nous sommes « choisis ». J’en profite pour les remercier chaleureusement 😉

C’est parce que je crois en la force du réseau que j’ai accepté d’organiser des afterworks mensuels permettant la rencontre entre freelances, et entre freelances et entrepreneurs, pour Hopwork.

Je collabore également de plus en plus avec les autres « Ielles de la Com » de l’association Entrepreneur’Ielles, avec qui j’anime régulièrement des conférences et ateliers.

Nous travaillons sur des projets communs pour des clients de manière très complémentaire, et certaines ont même fait appel à moi pour les aider à trouver leur nom de société 🙂

 

Projets 2016 :

Aujourd’hui je travaille donc à 40% pour des agences (parisiennes, marseillaises et lyonnaises pour des clients comme Lustucru, Daddy, Mousline). Leur exigence et savoir-faire me permet d’apprendre toujours plus et de m’améliorer, car je suis souvent managée par un Planneur Stratégique qui a plus d’expérience que moi.

Et à 60% pour des TPE/PME. Voici quelques exemples de mes derniers accompagnements :

  • Stratégie de positionnement et image de marque d’une nouvelle plateforme en ligne dédiée au voyage : Beforgo
  • Stratégie de positionnement et création de nom pour 2 indépendantes de la communication, la 1ère spécialisée dans la com écrite et en particulier le marketing de contenu, Magnétis, la 2ème spécialisée dans la création de site et les réseaux sociaux, e-nergiz (site en cours).
  • Adaptation de la stratégie, de l’image et de l’offre d’une artisan couturière à une cible plus jeune : Séverine Iorio
  • Création de nom pour une entreprise spécialisée dans l’optimisation des achats pour la filière bois : Harmonis
  • Changement de nom pour un spécialiste du « wellness management » (vision holistique et méthodologique de la gestion du bien-être en entreprise) : Wellness Process
  • Conseils discours et image globale d’une sophrologue du travail spécialiste du « slow team building » (créer des évènements professionnels qui ont du sens, en consolidant l’individu pour renforcer le collectif) : GPS du travail

 

Je travaille en ce moment sur la création :

  • d’une marque de montres à Paris : Zoelyne
  • d’un foodtruck de jus bio pressés à froid à Bordeaux : Lao
  • d’un jus de fruit bio et « solidaire » en PACA : Jus des Copains 
  • d’un « bar à chocolat » à Paris (je pourrais en dire plus bientôt!)
  • d’une agence de scénographie événementielle à Aix
  • d’un écosystème autour de l’innovation pour la filière drones, dirigeables et objets connectés en France et à l’international
  • d’une plateforme en ligne dédiée au secteur des logiciels d’entreprises

 

Et sur l’amélioration de la stratégie et de l’image :

  • d’une expert comptable
  • d’une sophro-analyste
  • d’une consultante en créativité par l’artistique

 

Sans oublier éLab, évènement autour du bien-être au travail dont la 1ère édition a eu lieu en novembre dernier, et pour lequel je suis la responsable communication bénévole. Cette magnifique aventure m’a pris beaucoup de temps car je gérais (et je gère toujours) les aspects com au sens large dont l’animation des réseaux sociaux, mais m’a aussi beaucoup apporté sur le plan personnel (formidable expérience humaine que je raconte ici, de 25 bénévoles aux profils très différents qui se sont regroupés autour de convictions communes) et professionnel (découverte de la communication évènementielle). Elle m’a aussi permis de rencontrer 4 clients qui partagent mes valeurs, et de super partenaires coachs en entreprises (intelligence collective, conduite du changement…) dont je parlerai bientôt. Ces rencontres m’ont en effet amenée à faire évoluer un peu la vision de mon métier ! Notamment parce que toute image pro doit retranscrire une culture d’entreprise, des valeurs, et que la prise en compte de l’humain là-dedans est primordiale !

En fait je me rends compte que j’aide de plus en plus à valoriser l’image de projets/entreprises dans lesquels l’humain est placé au centre : qui ont du sens.

bonne-annee-2017 

 

BONNES RÉSOLUTIONS POUR 2017

1) Continuer à faire comprendre l’importance de l’image de marque

Si une création ou un développement de marque n’existe pas sans stratégie dans les grandes agences de communication, beaucoup de petites sont obligées de s’en passer car elles n’arrivent pas à « vendre » la stratégie autant que la création (logo etc).

Or c’est indispensable quelle que soit la taille du client et quel que soit le besoin (créer un site nécessite de savoir ce qu’on y raconte, animer les réseaux sociaux aussi !). C’est ce que j’expliquais ici.

2) Continuer à développer mon réseau

Vous l’aurez compris : le réseau c’est la clef.

Avec Hopwork je vais tester de nouveaux formats en plus des « hopdrinks » (afterworks) : les hopbreakfasts, les hop’ateliers… On peut aller beaucoup plus loin pour mieux nous connaître entre freelances et trouver des synergies, mais aussi pour valoriser nos expertises auprès des entreprises.
Car il y a encore beaucoup d’entreprises qui ne pensent pas aux freelances/consultants extérieurs (ou qui craignent ce type de collaboration) alors que nous apportons une grande adaptabilité à tous les niveaux : par exemple quand l’entreprise cherche des compétences particulières et qu’il faut créer une équipe sur mesure.

Je cherche aussi de plus en plus à m’entourer des « bonnes personnes » : celles qui tirent vers le haut et qui ne nous stressent pas quand elles ont peur pour nous, alors que nous avons nous-mêmes confiance en l’avenir 🙂

3) Travailler moins pour gagner plus

Cette année j’ai travaillé tous les jours non stop, même cet été (bon j’ai tout de même pris 2 semaines en mai j’avoue). Or je me suis quand même lancée à mon compte aussi pour pouvoir être un peu libre !

Mon objectif est donc de réussir à mieux concilier vie perso / vie pro et à mieux parvenir à les séparer. Mon principal problème finalement : j’aime beaucoup trop mon métier 🙂

4) Mieux gérer mon planning

…Et ne pas céder face aux clients pressés (sauf quand il y a vraiment une urgence, et dans ce cas il existe toujours une solution).

J’essaie toujours d’arranger mais je me suis retrouvée plusieurs fois à devoir travailler le week-end (puisque je n’avais plus de disponibilité dans la semaine) sans être payée davantage pour autant.

Et si je pouvais me permettre de travailler un week-end de temps en temps à mes débuts car je pouvais me reposer 2 jours en semaine, ce n’est plus le cas, mon agenda était bien rempli !

Il faut aussi tenir compte des temps de « non production » qui sont tout autant importants et qui permettent de se développer : prospection, afterworks pro, réunions avec ses collaborateurs, bénévolat…

5) Continuer à être aussi curieuse !

J’apprends tous les jours :

  • grâce aux missions variées qui me permettent de découvrir des métiers différents à chaque fois
  • grâce aux réseaux auxquels j’appartiens et qui organisent des partages de connaissances, d’expériences sous différentes formes (conférences, ateliers…), et grâce auxquels je découvre chaque mois des professions qui facilitent la vie (actuellement la sophro analyse et la naturopathie)
  • grâce à la formation professionnelle (WordPress en ce moment)
  • grâce à mes collaborateurs qui me font grandir professionnellement et personnellement

 

Rendez-vous donc dans un an pour vous présenter plein de nouveaux projets et pour voir si j’ai tenu mes engagements 😉

En attendant je vous souhaite une nouvelle année remplie de beaux projets, de nouveaux défis à relever et de concrétisations !

Un an en freelance

Un an en freelance

Un an que j’ai pris mon envol.

Un an d’épanouissement, de liberté, de rencontres, de motivation, et aussi parfois de doutes, d’attente et de frustration.

Etre son propre patron c’est tout ça à la fois. Bien sûr, le positif a pris le pas sur le négatif et je sais aujourd’hui que j’ai trouvé ma place.

 

LA DÉCISION

Après 5 ans d’expérience en entreprise puis en agence à Lille, je me destinais à poursuivre ma carrière à Paris, où est bien sûr concentré la grande majorité des postes de « planneurs stratégiques/consultants branding/consultants en stratégie de marque ». Et j’avais d’ailleurs commencé à passer des entretiens lorsque nous avons eu l’opportunité de partir vivre à Aix-en-Provence en 2013.

J’ai d’abord eu beaucoup de doutes quant à la possibilité de poursuivre une telle carrière dans le Sud. Mais j’ai décidé de privilégier la qualité de vie, pour une fois, et j’ai suivi mes envies.

J’ai tout de suite trouvé un poste en agence. Il s’agissait cependant d’avoir la double casquette chef de projet/consultante. Et finalement l’opérationnel a pris le pas sur le conseil et la stratégie et j’utilisais peu les compétences qui faisaient ma valeur ajoutée. L’idée de me lancer en freelance a donc doucement fait son chemin, au gré de rencontres enrichissantes. De nombreux indépendants m’ont encouragée sans pour autant dresser un portrait idyllique de ce « mode de vie » et je les en remercie : j’ai ainsi été préparée à tout ce que j’ai vécu ensuite.

 

LA PRÉPARATION 

Avant de me lancer j’ai suivi plusieurs formations : remise à niveau d’Anglais, webmarketing, « Osez Entreprendre » où j’ai peaufiné mon business plan.

Puis j’ai planché sur la création de ma propre marque. Beaucoup m’ont demandé pourquoi je n’utilisais pas simplement mon nom, et c’est légitime. En effet le personal branding à l’américaine a fait ses preuves mais créer des marques est mon métier et je suis convaincue qu’imaginer une marque « adaptée » à son marché, aux attentes des cibles, et qui retranscrit les bonnes valeurs est plus efficace encore.

J’ai alors utilisé les mêmes méthodes que pour mes clients et j’ai réfléchi entre autres :

> à ce que mes prospects (agences et entreprises) rechercheraient comme qualité chez un consultant « externe »

> aux valeurs – traits de ma personnalité que je voulais retranscrire.

Après pas mal de pistes différentes, j’ai commencé à tourner autour de l’idée de curiosité. Car la remise en question perpétuelle permet de ne jamais cesser de s’intéresser et d’apprendre. Et donc de comprendre. C’est ce qui mène à la créativité, ce qui permet de décloisonner et d’explorer de nouveaux territoires. Les 1ères phases d’entretien avec le client, d’observation, d’exploration, d’analyse du marché sont donc primordiales.

J’ai ensuite choisi de m’inspirer de l’idée de « made with love » pour le côté élaboration (travail approfondi) et pour évoquer l’importance de la relation en « one-to-one » et la dimension sur-mesure de mon travail d’indépendante, comme un artisan le ferait. Je vois chaque projet comme un renouveau, où certes les méthodes sont les mêmes, mais où il me faut faire preuve de curiosité pour appréhender la nouvelle marque et son environnement.

J’ai décidé de transmettre ces idées avec un logo quelque peu vintage à la forme d’écusson, une typo années 30 avec l’effet grossissant d’une loupe au centre et une ampoule dans le O pour retranscrire l’idée de curiosité, des surpiqûres évoquant le fait main, le tout associé au vert qui reflète des éléments de ma personnalité que je souhaitais valoriser (ce vert-ci était d’ailleurs la couleur Pantone de l’année) : calme, réfléchie, optimiste. J’ai complété cette identité visuelle par quelques photos pro cohérentes.

J’ai créé mon site seule grâce à WordPress, après avoir beaucoup lu (forums, blogs), beaucoup discuté (avec des freelances passés par là) et quelque peu galéré avec des bugs qu’ont résolu des développeurs que je connais. Je ne conseillerais donc à personne de se lancer seul à moins d’avoir les compétences nécessaires ou le bon réseau 😉

 

PETIT À PETIT L’OISEAU FAIT SON NID 

J’ai démarré sur les chapeaux de roues : après avoir proposé mes services à pas mal d’agences, je prenais part dès le premier mois à deux appels d’offre très intéressants. Ensuite tout s’est enchainé avec parfois plusieurs projets par mois (et quelques nuits blanches ;)), parfois zéro (l’irrégularité est en effet la principale difficulté), pour un total de 9 projets en un an.

Des projets passionnants, dans tous les secteurs (banque, salons professionnels, vin, centre d’affaires, épicerie fine, alimentaire grandes surfaces, covoiturage…) et pour toutes tailles d’entreprise, que vous pourrez retrouver pour certains au début de la rubrique Projets (d’autres sont toujours confidentiels).

Les derniers : https://www.madewithcuriosity.com/portfolio/les-sept-pierres/ / https://www.madewithcuriosity.com/portfolio/identite-sistem-provence/

Petit à petit, sans faire de prospection mais plutôt grâce au réseautage et au bouche-à-oreille, j’ai de plus en plus travaillé en direct pour des entreprises.

Les 2 sont enrichissants à différents niveaux et donc complémentaires : une agence fait souvent appel à moi pour mon expertise dans un domaine en particulier (complétée par celles des autres membres de l’équipe interne) et ma capacité à m’adapter aux méthodes qu’elle utilise tout en apportant une plus-value ; une entreprise attend souvent de moi une grande polyvalence et une capacité à l’accompagner de A à Z sur ses problématiques marketing et communication.

J’apprécie les 2 manières de travailler et il est vrai que les relations privilégiées avec les responsables de TPE/PME sont très agréables : travailler directement avec le décisionnaire permet une grande réactivité, efficacité, créativité. Cependant les clients des agences étant plutôt de grands groupes, les budgets sont plus conséquents et les projets de plus grande envergure. Je développe donc en parallèle mes collaborations avec de grandes agences parisiennes.

 

LES SOURCES DE MOTIVATION

Je ne l’imaginais pas à ce point mais en travaillant seule sur mes recommandations, « sans patron », j’ai pu aller au bout de mes convictions.

J’ai toujours été très autonome en agence également, mais il n’empêche que c’était souvent mon responsable qui avait le dernier mot. C’était bien sûr intéressant de débattre pour avancer (car il n’y a pas une vérité dans cet univers plus émotionnel que rationnel), mais j’ai parfois eu la désagréable sensation d’avoir cédé par facilité et manque de temps. On me demandait de travailler sur plusieurs projets en parallèle avec des délais très courts, ce qui m’obligeait parfois à hiérarchiser les projets par ordre d’importance (passer plus de temps pour le plus gros budget). Aujourd’hui j’ai bien sûr des deadlines également, mais c’est moi qui m’organise de manière à produire un résultat de qualité, quelle que soit la taille du client.

Etre freelance c’est être libre de penser, choisir, s’organiser.

Sur ce dernier aspect, l’intérêt est de pouvoir capitaliser sur les moments de la journée/de la semaine/du week-end où on est le plus efficace. L’important est plus le résultat que le temps passé (contrairement à encore beaucoup trop d’entreprises). Je peux ainsi me dégager du temps en semaine pour des activités perso ou pro mais qui ne concernent pas la « production » (réseautage notamment).

Cette réorganisation du temps et le fait de travailler seule me pousse en effet à aller à la rencontre des autres, notamment au sein d’associations, d’espaces de coworking ou de réseaux divers (on me dit souvent qu’on me voit partout ;)). Ces divers réseaux ont le point commun d’attirer des personnes curieuses et ouvertes d’esprit et donc une multitude de profils variés (beaucoup ont d’ailleurs changé de métiers plusieurs fois). Cette richesse a encore plus aiguisé ma curiosité et je me rends compte que tout est possible est que les seules limites sont celles que l’on s’impose.

J’ai notamment rencontré des freelances qui partagent la même vision du travail que moi, avec qui j’ai entamé de belles collaborations.

J’ai également rencontré une entrepreneure au sein d’une super association (http://www.entrepreneurielles.com) il y a un peu moins d’un an et je fais aujourd’hui partie d’une équipe d’une dizaine de personne qu’elle a rassemblées pour créer un évènement autour de la thématique de l’humain au coeur de l’entreprise. Je pourrais bientôt en dévoiler plus 🙂

Ces rencontres m’enrichissent sur le plan professionnel mais également personnel !

Cette année j’ai notamment découvert : le yoga, la méditation, la sophrologie, les conversations d’Anglais, des ateliers sur des sujets divers et variés, comment mieux consommer/mieux manger, le swing et j’en passe.

Finalement je commence à prendre conscience que me lancer à mon compte m’a permis de prendre ma vie en main. Agir et ne pas subir.

 

LES SOURCES DE FRUSTRATION

Comme dans tous métiers et tous statuts, il y a bien sûr également des aspects moins sympa !

Etre à son compte c’est tout d’abord « vivre son entreprise » de jour comme de nuit. C’est un peu fatiguant et un peu stressant (surtout la nuit!).

C’est aussi creuser un fossé d’incompréhension avec son entourage salarié. Certains pensent que tant que tu ne travailles pas en « production » sur un projet tu ne travailles pas tout court. Or être freelance c’est aussi : chercher des clients (prospection, réseautage, partenariats), rédiger des articles ;), de l’administratif, des devis, des factures et parfois des recours juridiques pour enfin obtenir son dû.

Car oui certains sont irrespectueux : aucune réponse malgré les relances à un devis qu’on t’a demandé de faire en quelques heures parce que c’était super urgent, après t’avoir fait venir sur place pour une réunion de 3h ;

D’autres sont malhonnêtes : tu collabores avec une agence sur un appel d’offre, tu fais le travail en 3 jours au lieu de 7, le week-end et la nuit, on te remercie chaleureusement pour la qualité de ton travail – tu as vraiment tout donné – puis on te dit qu’on te fait le virement et qu’on te tient au courant de la réponse du client (tu es payée plus si vous gagnez l’appel d’offre). Et tu n’as plus aucune nouvelle (tu obtiens finalement le montant « si perdu » faute de mieux après mise en demeure).

On a beau s’y attendre : c’est éreintant et difficile à gérer psychologiquement.

En parlant d’appels d’offre : la grande majorité des entreprises mettant en concurrence plusieurs agences ne rémunère que celle qui est retenue. Les autres travaillent pendant plusieurs semaines pour rien. Enfin pour rien : pas pour tout le monde car pour ce qui est des idées, celles-ci ne sont pas protégées et il est fréquent que l’entreprise s’inspire de la recommandation stratégique (parfois mêmes du travail graphique) impunément.

Ces agences font souvent appel à des freelances en soutien : si l’appel d’offre est perdu, certaines les dédommagent (généralement 50% du montant), d’autres non car elles considèrent (je cite) que « c’est un investissement commercial pour le freelance » au même titre que c’est le cas pour elles. Sauf que : une agence verse quoiqu’il arrive des salaires à ses équipes qui sont donc assurées de pouvoir manger à la fin du mois, contrairement aux freelances (à moins bien sûr de gagner suffisamment pour mettre de côté mais impossible au début). Et je ne parle pas de ceux qui te demandent « ton conseil » (après tout tu es « consultant » ;)) et font les morts quand tu évoques tes tarifs.

Mais fort heureusement la majorité de mes clients, agences comme entreprises, partagent mes valeurs et je les en remercie vivement 🙂

 

LE BILAN

Il me semblait important d’évoquer le bien comme le moins bien car faire un bilan c’est aussi ça, et on dresse souvent un portrait idyllique du travail indépendant. Les freelances que j’ai rencontrés et qui ont été honnêtes sur tous ces aspects m’ont beaucoup aidée car je me suis lancée en connaissance de cause.

Je ne regrette absolument pas mon choix et j’ai toujours la même énergie et la même motivation pour développer « ma petite entreprise » et pouvoir en vivre convenablement.

Etre freelance, c’est une formidable expérience et c’est surtout l’opportunité de s’épanouir et de révéler pleinement son potentiel : de devenir soi-même.

 

De l’intérêt de travailler avec un freelance

De l’intérêt de travailler avec un freelance

2014 a sans doute été l’année qui compte le plus d’articles évoquant le déclin du CDI et l’avènement du travail en freelance (ou travail indépendant). L’Europe et la France suivent en effet lentement mais sûrement les traces des Etats-Unis, où 1 Américain sur 3 travaillerait en freelance selon The Freelancers Union. Le nombre de travailleurs indépendants américains devrait même dépasser celui des salariés d’ici 2020, selon MBO Parters !

Avec la crise, les entreprises ont tendance à sous-traiter davantage les compétences les plus éloignées de leur cœur de métier. Mais la conjoncture économique n’est pas le seul facteur qui a contribué à l’essor du freelancing. C’est également le reflet de l’évolution actuelle de la société, qui révolutionne tous les aspects de la vie et notamment le monde du travail.

L’avènement du freelancing est pour moi intimement lié à l’essor de « l’économie collaborative », accéléré par les nouvelles technologies et Internet.
Les nouveaux modèles de consommation (ou le retour d’anciens modèles tels que le troc !) font preuve de bon sens en plaçant la collaboration entre les individus au cœur de toute organisation : développement des AMAP, couchsurfing, auto-partage, crowdfunding…
Et le marché du travail n’est pas en reste ! Développement des espaces de coworking (leur nombre double quasiment chaque année en France), des plateformes mettant en contact freelances et entreprises… Tout tend à prouver la pertinence de ce modèle.

C’est également ce en quoi je crois et la principale raison qui m’a poussée à me lancer à mon compte.
Après avoir travaillé 5 ans aux services des marques en entreprise puis en agence, je suis intimement convaincue que le travail indépendant répond à un réel besoin de la part des entreprises, complémentaire au travail salarié.
Mon projet s’est nourri des rencontres riches d’enseignement que j’ai faites ces derniers mois et qui ont mené à de belles collaborations. Trouver la combinaison gagnante des compétences complémentaires de freelances experts dans leur domaine, me semble être la méthode la plus pertinente pour répondre de manière efficace et sur-mesure à une problématique unique.
Cette manière de travailler est aussi bien adaptée aux besoins des entreprises qu’à ceux des agences conseil : toute équipe a parfois besoin de sortir de son « quotidien », à la recherche d’un regard extérieur neuf, objectif et expert.